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Montagne plongeant dans la mer, vieille terre de culture, qu'illustrent les vestiges des civilisations les plus riches de la Méditerranée, le Liban allie Orient et Occident. QUE VOIR AU LIBAN ? Beyrouth, plaque tournante du Proche-Orient Métropole où se concentrent les activités, politiques, administratives et financières, Beyrouth est la capitale d'un État moderne qui vient de retrouver la paix. Le centre-ville en reconstruction, avec en son coeur la place des Martyrs, présente aujourd'hui l'aspect d'un chantier où vous pouvez découvrir sites archéologiques témoignant de son riche passé, mosquées et églises. Le quartier des grands hôtels rappelle qu'avant la guerre Beyrouth attirait une foule de touristes et d'hommes d'affaires épris de confort et de bien-vivre. La corniche en bord de mer est la promenade de tous ceux qui aiment flâner, regarder les pêcheurs et admirer la Grotte aux pigeons. Le quartier de Hamra - les anciens « Champs-Ëlysées » de Beyrouth - reprend vie. Le Musée national rouvre ses portes pour laisser admirer ses trésors. La région de Deir el-Kamar et de Bet ed-Dine Sauf indication contraire, les distances sont indiquées depuis Beyrouth. La région du Chouf recèle deux joyaux: la petite ville de Deïr el-Kamar, l'ancienne capitale du Liban, et le palais de l'émir Béchir à Beït ed-Dine. Leur visite permet de découvrir une architecture originale, mélange des civilisations qui ont enrichi le pays. Deïr el-Kamar (40 km). La petite ville s'organise autour d'une place, le midan, sur laquelle se dresse la plus ancienne mosquée du Mont-Liban, construite par Fakhr ed-Dine, les restes de l'ancien palais des Maan, le souk de la soie et le sérail. Béit cd-Dine (45 km). Construction datant de la fin du xviiie siècle et du début du xixe, le château de Beït ed-Dine est un bel exemple de mélange harmonieux des styles orientaux. On peut visiter plusieurs musées et le plus merveiheux d'entre eux, le tout récent musée des Mosaïques. Les cèdres de Barouk (49 km). Une forêt aujourd'hui protégée et enrichie à plus de 1 100 m d'altitude. De Saida à Tyr Les antiques cités phéniciennes, au cours de leur histoire tumultueuse, ont connu la destruction, mais aussi un enrichissement architectural et culturel extraordinaire qui en fait des lieux privilégiés pour le voyageur épris de culture et de beauté. Le temple d'Echmoun If (40 km). Les ruines les plus authentiquement phéniciennes du Liban. Un lieu de culte en l'honneur du dieu Echmoun, l'Adonis de Byblos. Saïda (43 km). Le Château de la mer"' construit par les croisés, le caravansérail des Français*', les '*souks If, la grande mosquée, le château de Terre sont les points essentiels d'une visite qui permet de traverser l'histoire, du Moyen Âge jusqu'à nos jours. Tyr (83 km). L'antique Sour présente deux sites archéologiques prestigieux, celui du bord de mer, les fouilles de la cité'*' que conquit Alexandre le Grand, et celui de la nécropole et de l'hippodrome dans un étonnant état de consmation. Le vieux port V, où l'on peut louer un bateau, permet un moment de détente, surtout en fin d'après-midi. Aux environs, à Ras elA:in (88 km), une des sources principales de la région, considérée dans l'antiquité comme bienfaitrice. Sans oublier le Qabr Hiram, sarcophage de grande taille, censé être le tombeau de Hiram, ancien roi de Tyr. De Beyrouth à Byblos Les stèles du Nahr el-Kalb (le fleuve du chien) (30 km). En ce lieu stratégique de la côte libanaise, depuis la plus haute antiquité, envahisseurs ou libérateurs ont laissé la trace de leur passage en élevant des monuments commémoratifs. Les grottes de Ièita (20 km). Un des sites touristiques les plus visités, véritable chef-d'oeuvre de la nature. Kaslik et jounié (19 km). Petites agglomérations de bord de mer jusqu'à la veille de la guerre, Kaslik et jounié ont été victimes, ainsi que leurs environs, d'une fièvre de construction. À défaut d'y découvrir la « nature sauvage », visitez les boutiques « chic », ainsi que les cafés et les restaurants à la mode. Vous pouvez vous offrir quelques excursions en allant soit à Ghazir (28 km), qui produit l'excellent vin Musar, soit vers le Nahr Ibrahim, fleuve Adonis (22 km), dont les eaux jaillissent des grottes d'Afqa" (71 km). Byblos (Jbeil) 10 (37 km). Une des plus anciennes cités du monde (entre 7 000 et 9 000 ans de présence humaine sur le même site), à laquelle nous devons l'alphabet. Les fouilles en bord de mer présentent toutes les étapes de la colonisation humaine en ces lieux. C'est un véritable plaisir que de les découvrir avant de prendre un moment de repos bien mérité sur le petit port, non sans avoir visité la ville médiévale et en particulier l'église SaintJean, qui fut la cathédrale du Giblet des croisés. De Byblos à Tripoli et dans le Âkkar Âmchit (40 km). Ravissant village aux maisons traditionnelles où vécut Ernest Renan lors de sa « mission en Phénicie ». Hakel (55 km). Célèbre par ses fossiles de poissons conservés dans le calcaire. Batroun 10 (55 km). Village de charme, capitale de la citronnade, organisée autour de ses églises et célèbre par sa muraille phénicienne en bord de mer. En sortant de Batroun, le château de Mseilha contrôle le passage du Ras Chekka . À Enfé (70 km), découvrez la petite église de la Vierge, Notre-Dame-des-Vents. Deir Balamend (94 km). L'abbaye de Belmont fondée en 1157 par les cisterciens et aujourd'hui orthodoxe . Tripoli (86 km). La capitale du nord du Liban offre deux sites de promenade principaux: la ville médiévale groupée autour du château de SaintGilles (Qalaat Sanjil), près du Nahr Abou-Ali, et el-Mina, le quartier du port. Le premier itinéraire comporte marchés, caravansérail et mosquées ; le second, où se trouvait la ville antique, petites rues pittoresques et la tour des Lions. Menjez (140 km). Une piste caillouteuse vous conduit au couvent NotreDame-du-Fort, élevé sur le site d'un ancien château franc. Un endroit de quiétude et de sérénité. Le plateau de Qamoua . Un merveilleux lieu de promenade d'où l'on peut apercevoir les horizons les plus lointains .Le château d'Âkkar ( 130 km). Il contrôlait la trouée d'Homs et la route Baalbek-Tripoli. Un des points d'appui du Crak des Chevaliers, aujourd'hui en territoire syrien. La vallée de la Kadisha et Les Cèdres La vallée sainte des maronites est dominée par Les Cèdres (130 km) et par le toit du Liban, Qornet el-Saouda. Le couvent de Saint-Antoine-de-Qozha:ia. Sur les pentes d'une gorge, avec sa grotte-chapelle et ses ermitages. Bcharré. La patrie de Gibran Khalil Gibran. Les Cèdres. Station de ski réputée, dépositaire des cèdres millénaires symboles du Liban. Qornet el-Saouda. Il culmine à 3 088 m, où l'on peut voir la Syrie, l'AntiLiban, une partie de la Bekaa, le mont Liban et parfois, à 250 km en Méditerranée, l'île de Chypre. La vallée de la Kadisha. Le couvent de Deir Qannoubin et celui de Mar Lichâ, refuge des maronites et aujourd'hui lieu de pèlerinage. Une promenade à faire à pied ou en voiture pour revenir aux sources de toute une culture. La plaine de la Bekaa Grenier à blé des Romains, entre Liban et Anti-Liban, la haute plaine de la Bekaa, où l'Oronte prend sa source, témoigne de son riche passé. Ksara. Les caves d'un des crus les plus célèbres du pays. Zahlé. La capitale du mezzé. De nombreux sites archéologiques, mais surtout Baalbek, où depuis la nuit des temps les hommes ont adoré le Soleil et dont les ruines majestueuses sont un des symboles du Liban: ses propylées, la cour hexagonale, la cour de l'autel, le temple de Bacchus et celui de Vénus . Au nord, Hermel, atteint après avoir découvert les sources de l'Oronte, le Qamouat el-Hermel , et au-delà les stèles de Nabuchodonosor . Ânjar. À l'autre extrémité de la plaine, les seuls vestiges de la dynastie des Omeyades au Liban. Une ville au dessin régulier qui ne vécut que pendant quelques années. |